De la Route des Vins à la Route Joffre

Westhalten - Orschwihr - Guebwiller - Soultz - Wattwiller - Cernay - Thann - Bitschwiller les Thann - Col du Hundsrück - Bourbach-le-Haut - Roderen - Berrwiller - Merxheim - Gundolsheim - Westhalten

Description de la randonnée
Départ 

Westhalten : salle polyvalente, rue du Stade

près de la petite route qui monte à Orschwihr.

Propriétés 

Distance : environ 82 km

Dénivelé : 920 m

Restauration : Bourbach-le-Haut : la Bougie

Remarques 

Virée dans le vignoble jusqu'à Thann et retour

par la Plaine.

 

La montée au col du Hundsrück comporte

quelques tronçons à 10 % .

 

Rejoindre Orschwihr par la petite route à partir de Westhalten.

 

A Orschwihr, prendre la piste cyclable qui longe le Bollenberg jusqu'à Berghotltz.

 

Rejoindre Guebwiller et Soultz, puis prendre la route des vins jusqu'à Cernay.

 

Contourner Cernay pour rejoindre Vieux-Thann.

 

A Vieux-Thann, emprunter la piste de la Thur jusqu'à Thann et Bitschwiller.

 

Par la route Joffre, monter au Hundsrück et descendre sur Bourbach-le-Haut.

 

Revenir par Bourbach-le-Bas et Roderen.

 

Avant Leimbach suivre la D 35 pour rejoindre Vieux-Thann.

 

Par le même chemin qu'à l'aller, rejoindre Wattwiller en passant par Uffholtz, puis descendre sur la plaine par Berrwiller, Bollwiller, Feldkirch, , Raedersheim, Merxheim et Gundolsheim et Westhalten.

 

De la route des Vins à la route Joffre.k
Archives compressées en format ZIP 3.8 KB
De la route des Vins à la route Joffre.g
Document XML 64.1 KB

La Collégiale Saint-Thiébaut de Thann

"...L'humble chapelle de Saint-Théobald, pendant que la ville à laquelle elle avait donné naissance atteignait ainsi de brillantes destinées, était naturellement retirée peu à peu de son obscurité architecturale, pour être élevée parmi les monuments de premier ordre.

 

Dès l'année 1275, les habitants de Thann demandèrent à l'habile créateur de la cathédrale de Strasbourg, à Ervin de Steinbach, les plans d'une nouvelle église qu'ils voulaient construire pour leur patron. Les travaux ne furent commencés que longtemps après : plus de deux siècles s'écoulèrent même entre le moment où Ervin de Steinbach traça les dessins, et celui où Henri Walch compléta leur exécution, en lançant dans les airs cette flèche hardie qui semble vouloir atteindre le niveau du sommet des collines voisines. Mais comme les plans donnés par le grand architecte furent scrupuleusement suivis par ses successeurs, l'édifice a conservé, dans l'ensemble des ses formes et de son style, l'empreinte d'une pensée unique et d'une seule époque, quoique le goût particulier de chaque âge se soit manifesté par des différences de détail.

 

... mais le morceau capital, la gloire de Saint-Théobald, c'est la tour. Carrée jusqu'au point où la flèche vient s'appuyer sur elle avec une légèreté qu'on ne saurait dire, cette tour est le plus heureux produit de ces artifices de ciselure par lesquels l'architecture gothique rendait, dans ses oeuvres, la force si délicate et la hardiesse si gracieuse. Ses parties massives sont tellement dissimulées par les nervures qui les découpent et les divisent, par les fenêtres qui les percent à jour, que l'on s'étonne presque qu'elles puissent supporter sa tête, quoique cette tête elle-même ne soit qu'une pyramide de dentelles, que le premier souffle de vent semblerait devoir emporter..."

 

Hippolyte Fournier : Histoire pittoresque des villes les plus remarquables dans l'Europe, l'Asie, l'Afrique et l'Amérique 1846.

Photo : Reinout van Ries.

Écrire commentaire

Commentaires: 0

A la une

Château de Ferrette et Grotte des Nains !

Les Nains de la caverve des Loups !

De Montbéliard à Monaco, la saga des comtes de Ferrette !