Du Chamont au Kalblin

Col du Chamont - Chapelle Saint-Thiébaut - La Chaude Côte - Le Kalblin - Route de Riquewihr - Ongrange - Le Chêne - Col du Camont

Description de la randonnée
Départ

Col du Chamont : se diriger vers le Col du Bonhomme ; au début de la montée prendre à droite

pour aller à Ribeaugoutte.

Propriétés

Distance : 13 km

Dénivelé : 600 m

Restauration : Restaurant du Musée

à Fréland

Carte IGN : 3718 OT

Remarques

Promenade circulaire sur les hauteurs de Fréland.

L'itinéraire est partiellement balisé et, en partie,

emprunte des petites routes goudronnées.

Suivre le chemin qui descend à Fréland en longeant le ruisseau qui se jette dans l'Ur.

 

Descendre la route qui se dirige vers Fréland et, au niveau de la chapelle Saint-Thiébaut monter la route qui mène à la Chaude Côte (losange bleu).

 

Se diriger vers le Kalblin jusqu'à la petite route qui mène à Kaysersberg.

 

Après quelques dizaines de mètres sur cette route, descendre à droite le chemin (losange bleu).

 

Remonter vers la Queue de l'A avant de descendre sur Fréland par la petite route.

 

Par la rue des Hauts Jardins rejoindre Ongrange et le Chêne et par le chemin (triangle vert), remonter au Col du Chamont. 

 

NB : une partie de l'itinéraire n'est pas balisé.

Du Chamont au Kalblin.kmz
Archives compressées en format ZIP 57.9 KB
Du Chamont au Kalblin.gpx
Document XML 28.4 KB

Impressions de voyage dans le pays welche

" ...A droite, avant d'arriver à Hachimette, un autre chemin conduit dans la montagne à Fréland. Quand on gagne ces hauteurs, on reste bien convaincu que les montagnes forment la véritables limites qui séparent les races, et que les fleuves ne forment que les limites territoriales, car vraiment on ne sait dans quelle langue parler à ces bons montagnards.

On entre dans une de leurs modestes habitations, on leur adresse la parole en allemand, et ils vous répondent en patois français inintelligible ; ailleurs on leur parle en français, et il vous répondent en un patois allemand, qu'on ne comprend pas davantage ; puis, quand vous avez épuisé toutes les ressources de votre érudition philologique, il vous reste pour dernier moyen de vous faire comprendre, le langage primitif des signes.

Aussi ces villages environnants portent tous deux noms, le nom allemand et le nom patois, et vous êtes heureux si le hasard ou une certaine étude de physionomie et de coutume vous guident bien, car tel villageois que vous aborderez pour lui demander le chemin de Lapoutroie, ne saura pas vous répondre, parce qu'il est allemand, et que dans sa langue le village s'appelle Schnierlach, tout comme un autre fera l'étonné si vous le questionnez sur Altwyhr qu'il ne connait que sous le nom d'Aubure, parce qu'il est français ; il en est de même du village de Diedolshausen qu'il traduira par Bonhomme, de celui d'Urbach qu'il appelle Fréland, de celui de Echelmer qu'il nomme Hachimette etc... "

 

Strasbourg illustré tome II F. Piton 1865.

Reproduction : Musée Welche et église paroissiale de Fréland.

Écrire commentaire

Commentaires: 0

A la une

Ascension du Petit Ballon par le Firstplan et retour par le Sattel !

Les eaux de Soultzbach au XVIIème siècle !

Quand l'Alsace est devenue allemande 1870-1871 !